Sami Terki

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Bienvenue dans mon cerveau

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J'analyse mon propre copywriting

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Sami
juin 25, 2022
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La semaine dernière, tu as reçu 2 emails de ma part pour vendre le programme Breakthrough Copywriter de PB Poncelin.

Et même si en surface je t’écris avec un style “à la cool”…

Y’a quand même un vrai travail de copywriting derrière tout ça.

Dans les lignes qui suivent, on va analyser ensemble bloc par bloc le 2e email d’affiliation que tu as reçu mercredi dernier.

L’idée, c’est que tu comprennes les mécaniques que je mets en place pour vendre une offre par email pour que tu puisses t’en inspirer.


Précision : Cet email est la suite de celui que tu as reçu vendredi dernier.

Va y jeter un œil avant si ce n’est pas déjà fait :

La KopySchool
Ça, c'est une première !
Depuis 8 mois que je t’écris cette newsletter, c’est la première fois que je fais une chose pareille. Je savais pas trop comment tu allais réagir, mais ça s’est super bien passé ! Ce dont je te parle ? Ce sont les 2 mails de vente pour le programme de PB Poncelin que tu as reçu lundi et mercredi…
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3 years ago · 1 like · 2 comments · Sami

On attaque ?

L’accroche :

La tension au cœur de l’email est posée d’entrée de jeu.

En 2 lignes, tu te dis : “Attends, il voulait me vendre un programme pour devenir copywriter… Mais en fait j’en ai pas besoin ?”

Évidemment, tu veux en savoir plus. Même si tu n’as aucune intention d’acheter le programme.

Je vois trop de textes de vente qui tournent autour du pot pendant 10 lignes.

💡 Conseil : si tu peux supprimer les 15 premières lignes de ton texte, fais-le.
Va droit au but, tu n’as pas le temps de faire une longue introduction sinon tu perds tout le monde.

Ici, l’enjeu de l’email est posé en 2 lignes et tu as envie de rester pour comprendre où l’histoire va t’emmener.


“Il y a un mais”

Tout le challenge de cette partie, c’est d’aller plus loin dans l’idée “pas besoin d’une formation”, ni pas trop longtemps pour éviter que tu te lasses, ni pas assez pour que la révélation ne tombe pas à plat.

C’est un équilibre à trouver, je ne dis pas que j’y suis parfaitement arrivé, mais c’était l’objectif.

Avec la phrase “tu peux sans doute y arriver tout seul”, je referme la boucle et j’attaque la 2e partie de l’email ensuite avec une phrase qui revient piquer ta curiosité.

Dès que la tension retombe un peu dans ta copy, tu dois trouver un moyen de remettre de l’enjeu. C’est ce que je fais ici.


Le storytelling

Comment garder l’attention du prospect pendant un storytelling aussi long ?

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