Rassure-toi mon kopypote, rien de bizarre ni d'illégal.
Le seul domaine où je me suis "radicalisé" ces derniers mois, c'est le positionnement de mon activité freelance.
(🚨 Note pour les mecs de la DGSI qui sont tombés sur cet email : c’est bon, vous pouvez retirer le signalement sur mon nom.)
Jusqu'en février, j'avais un positionnement plutôt flou.
Je travaillais avec des clients dans le sport… Mais pas que.
J'avais aussi un client dans l'audiovisuel, un autre dans le business en ligne, parfois un autre dans les finances persos...
En fait, si un projet me plaisait : je disais oui. Même s'il sortait de mon positionnement traditionnel.
ERREUR ❌
Je l'ai compris assez violemment le jour où j'ai décidé de mettre fin à certains contrats.
À ce moment-là, je me suis demandé "avec qui tu as envie de travailler ? Qui est-ce que tu veux vraiment aider ?"
La réponse était évidente : les professionnels du sport et les athlètes.
Sauf qu'absolument AUCUN élément de mon branding ne reflétait cette ambition :
Sur LinkedIn, j'étais juste "copywriter et ghostwriter".
Le contenu que je créais n'avait pas de lien avec le sport.
Je n'avais fait aucun effort pour me rapprocher des prospects de ce marché.
Et comme j'avais un peu délaissé la partie networking (qui ne correspond pas du tout à mon tempérament introverti), je ne recevais plus aucune proposition.
Avance rapide jusqu'à aujourd'hui.
Mon profil LinkedIn ressemble à ça 👇
Et voilà mes derniers contenus 👇
J'ai également pris le temps de me connecter à des dizaines de CEO du monde du sport, à des athlètes, des professionnels du domaine, etc.
🪄 ET KOM PAR MAJI...
Je reçois des MP intéressants, des propositions de mise en relation, des demandes de call...
Bref : il se passe des choses.
Avant, j'étais un freelance en écriture parmi tant d'autres.
Bon OK, j'étais incroyablement plus sexy et charismatique que les autres, mais à part ça : rien de spécial.
(Bah quoi ?)
Maintenant, je suis "le gars qui fait du ghostwriting et qui parle de course à pied".
Tu peux chercher tout LinkedIn, y'en a pas 125 des freelances avec ce positionnement.
Je prends plus de plaisir à créer du contenu parce que je sais précisément de quoi parler et à qui m'adresser.
Je n'ai plus peur de refuser des opportunités hors de mon positionnement car je sais que d'autres plus appropriées vont apparaître.
Je peux gérer plus de clients en y consacrant moins de jus cerveau, puisque je reste dans le même univers.
En écrivant ce mail, j'ai envie de retourner en arrière pour mettre un high kick dans le plexus au Sami d'il y a 6 mois qui pensait pouvoir se permettre de ne pas avoir de positionnement clair.
La vérité mon kopypote, c'est qu'à moins d'être une superstar de ton marché : tu n'as rien à gagner en restant généraliste.
Et spoiler : mathématiquement, il y a peu de chances que tu sois une superstar.
Sorry. Les chiffres ne mentent pas : j'y peux rien.
À 2 jours,
Sami
PS : C'est pas super bien foutu, mais il y a une fonctionnalité commentaires sur Substack.
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Comme ça je peux te répondre et notre discussion profite à tous les lecteurs de la KopySchool.