Aujourd’hui, tu vas avoir accès à un email envoyé aux membres payants de la KopySchool… Gratuitement.
Tu t’en doutes, J’ai un intérêt à t’offrir cet email.
Le but, évidemment, c’est que tu sois intéressé par le contenu et que tu décides de t’abonner pour en recevoir d’autres.
Cela dit, même si tu ne t’abonnes pas ensuite : tu auras progressé en copywriting malgré tout, ce qui reste l’objectif de cette newsletter.
Pour les abonnés payants qui ont déjà reçu cet email : c’est l’occasion de relire l’un des emails les plus riches d’enseignements selon moi.
L’email est juste-là 👇
⏱ Temps de lecture : 6mn
Un copywriter qui se fait payer au mot est un mauvais copywriter.
Parce qu’en réalité, c’est un effort bien plus grand d’exprimer une idée en 5 mots qu’en 25.
Et dans cet email, tu vas découvrir 3 méthodes efficaces pour retravailler ton texte, supprimer le superflu et rendre ta copy plus courte, impactante et persuasive.
Ce sont des méthodes qui fonctionnent extrêmement bien pour les titres, les propositions de valeur ou les objets d’email, mais je te conseille de les garder en tête pour tous tes autres textes.
📒 Au programme :
La méthode Monsieur Burns pour augmenter l’efficacité de ta copy
La VRAIE manière de relire ta copy pour vraiment l’améliorer
Le conseil que tout le monde te donne et que tu dois arrêter de suivre
La méthode Monsieur Burns pour augmenter l’efficacité de ta copy
Quand tu relis ta copy, tu dois passer en mode Monsieur Burns.
C’est-à-dire que tu croises tes mains, tu prends ton air aigri et tu relis ton texte comme si chaque mot te coûtait de l’argent.
Imagine que chaque mot de ton texte te coûte 1 € :
Qu’est-ce que tu ferais en voyant un mot qui n’est 100% nécessaire à la compréhension du texte ?
Tu le supprimerais sur le champ !
Une phrase qui répète la même chose que la phrase précédente ? C’est le jackpot, tu peux économiser 10 ou 15 € d’un coup.
Peut-être que ça te paraît ridicule, mais si cette méthode fonctionne, c’est pour une raison simple :
On a tous tendance à remplir nos textes de mots superflus parce que c’est ce que l’on nous a appris à faire pendant nos études.
Le système scolaire ne forme pas des copywriters, il forme des apprentis littéraires.
Et le problème, c’est que ces 2 styles de rédaction n’ont rien à voir. D’ailleurs, les descriptions de 8 pages de Balzac feraient d’horribles pages de vente !
L’autre intérêt de cette méthode, c’est qu’elle t’oblige à te focaliser sur TOUS les mots de ta copy.
Même les conjonctions, les prépositions, les petits trucs de 3-4 lettres que tu penses pas à supprimer parce que “ça vaaaa, ça alourdit pas la phrase.”
Si tu pars du principe qu’un mot = 1 €, tu accordes autant d’importance à ton adverbe de 5 syllabes qu’à ta conjonction de 2 lettres.
Et c’est tant mieux, parce que dans la tête de ton lecteur, les 2 peuvent avoir le même impact négatif.
Je te donne un exemple avec une publicité très connue :
Essaie de trouver un mot en trop dans ce titre. Tu peux chercher, tu ne trouveras rien parce que chaque mot est à sa place.
Mais tu peux être sûr qu’avant relecture et modification, le titre ressemblait à quelque chose du genre :
The new Rolls-Royce is so quiet that at 60 miles an hour the loudest noise comes from the electric clock.
C’est la manière la plus naturelle de dire les choses, et c’est déjà un très bon titre.
Mais si tu passes en mode Monsieur Burns et que tu chasses les mots superflus comme si ta vie en dépendait ?
Tu remarques une redondance : “quiet” - “loudest”, 2 mots qui font référence à la même idée.
D’autant plus que grave que “quiet” s’accompagne de 3 mots très courts, mais qui alourdissent la phrase : “is” “so” “that”.
En supprimant tout ça, non seulement tu économises 4 €, mais en plus tu allèges la phrase et la rends beaucoup plus impactante.
Ce qui m’amène d’ailleurs à la seconde partie de l’email :
La VRAIE manière de relire ta copy pour vraiment l’améliorer
L’erreur #1 que font 99,999% des copywriters/créateurs quand ils relisent leurs textes, c’est qu’ils cherchent des mots à supprimer.
“Quoi ? Mais Sami, tu viens de nous dire justement d’écrire comme si chaque mot nous coûtait de l’argent !”
Je sais, mais tu vas voir que les 2 conseils sont complètement compatibles.
Reprenons l’exemple de la publicité Rolls-Royce pour comparer ma version à la version définitive :
The new Rolls-Royce is so quiet that at 60 miles an hour the loudest noise comes from the electric clock.
At 60 miles an hour, the loudest noice in the new Rolls-Royce comes form the electric clock.
Pour passer de la première à la deuxième version, tu ne peux pas juste chercher des mots à supprimer :
Tu dois chercher des manières de reformuler toute la phrase.
Un copywriter qui chercherait à supprimer des mots dans ma version ne pourrait rien faire. Chaque mot apporte du sens et est nécessaire pour que la phrase soit grammaticalement correcte.
Mais un copywriter qui chercherait à reformuler ma phrase pour la rendre plus impactante ? Il verrait la redondance dont je te parlais en partie 1 et il pourrait en faire quelque chose de plus intéressant.
Quand tu relis tes textes, sors la tête du guidon et va plus loin que la chasse aux mots inutiles.
Oui, c’est important de virer les adverbes qui ne servent à rien.
Oui, c’est encore plus important de virer les phrases qui ne servent à rien !
Mais ça, c’est la partie facile du travail.
Le plus difficile, c’est de lire ta phrase et te demander “Est-ce qu’il n’y a pas une meilleure manière d’exprimer cette idée ?”
Et bien souvent, ça ne passe pas simplement par supprimer un adverbe, mais par le choix d’une tournure de phrase complètement différente.
C’est une étape qui demande du temps. Parfois encore plus que la rédaction parce que tu dois reprendre ta copy à zéro et trouver d’autres manières de dire les choses.
Pro tip : si tu as le temps, laisse passer 24h entre la rédaction et la relecture.
A froid, certains éléments te sauteront aux yeux alors que tu aurais été incapable de les remarquer 24h plus tôt.
Le conseil que tout le monde te donne et que tu dois arrêter de suivre
Quand tu découvres le copywriting, tu entends forcément ce conseil : “Écris comme tu parles”.
Je comprends très bien l’idée derrière : écrire naturellement, mettre de la personnalité dans tes textes, etc.
Mais le problème, c’est que ce conseil est souvent mal interprété.
Parce qu’à moins que tu sois un orateur hors pair, tes prises de parole sont sans doute pleines d’hésitations, de redondances, etc.
Et c’est ok ! Je suis le premier à faire des phrases trop longues et à avoir du mal à m’exprimer clairement à l’oral.
Mais le piège, c’est que ce défaut se transfère parfois à ma copy.
Si je suis pas vigilant à la rédaction et surtout à la relecture : ma copy ressemble vraiment à mon expression orale…
Et ça serait la catastrophe pour mes clients et pour toi qui lis cette newsletter.
Mon conseil, c’est d’écrire comme tu voudrais parler.
Si comme moi tu es un peu brouillon à l’oral, tu as peut-être en tête une idée de ce à quoi ressemblerait ta prise de parole parfaite :
Une version améliorée de ton expression orale où chaque mot a sa place et apporte quelque chose à ce que tu racontes.
Cet idéal, c’est ce à quoi ta copy doit ressembler.
Autrement dit, en te relisant, tu ne dois pas te dire : “C’est comme ça que je parle”, mais “C’est comme ça que j’aimerais parler”.
Si tu te mets dans la peau du toi qui es un excellent orateur, tu remarqueras facilement dans ton texte tous tes petits défauts d’expression que tu n’aurais pas remarqués autrement.
⏱ Temps de lecture : 6mn
Un copywriter qui se fait payer au mot est un mauvais copywriter.
Parce qu’en réalité, c’est un effort bien plus grand d’exprimer une idée en 5 mots qu’en 25.
Et dans cet email, tu vas découvrir 3 méthodes efficaces pour retravailler ton texte, supprimer le superflu et rendre ta copy plus courte, impactante et persuasive.
Ce sont des méthodes qui fonctionnent extrêmement bien pour les titres, les propositions de valeur ou les objets d’email, mais je te conseille de les garder en tête pour tous tes autres textes.
📒 Au programme :
La méthode Monsieur Burns pour augmenter l’efficacité de ta copy
La VRAIE manière de relire ta copy pour vraiment l’améliorer
Le conseil que tout le monde te donne et que tu dois arrêter de suivre
La méthode Monsieur Burns pour augmenter l’efficacité de ta copy
Quand tu relis ta copy, tu dois passer en mode Monsieur Burns.
C’est-à-dire que tu croises tes mains, tu prends ton air aigri et tu relis ton texte comme si chaque mot te coûtait de l’argent.
Imagine que chaque mot de ton texte te coûte 1 € :
Qu’est-ce que tu ferais en voyant un mot qui n’est 100% nécessaire à la compréhension du texte ?
Tu le supprimerais sur le champ !
Une phrase qui répète la même chose que la phrase précédente ? C’est le jackpot, tu peux économiser 10 ou 15 € d’un coup.
Peut-être que ça te paraît ridicule, mais si cette méthode fonctionne, c’est pour une raison simple :
On a tous tendance à remplir nos textes de mots superflus parce que c’est ce que l’on nous a appris à faire pendant nos études.
Le système scolaire ne forme pas des copywriters, il forme des apprentis littéraires.
Et le problème, c’est que ces 2 styles de rédaction n’ont rien à voir. D’ailleurs, les descriptions de 8 pages de Balzac feraient d’horribles pages de vente !
L’autre intérêt de cette méthode, c’est qu’elle t’oblige à te focaliser sur TOUS les mots de ta copy.
Même les conjonctions, les prépositions, les petits trucs de 3-4 lettres que tu penses pas à supprimer parce que “ça vaaaa, ça alourdit pas la phrase.”
Si tu pars du principe qu’un mot = 1 €, tu accordes autant d’importance à ton adverbe de 5 syllabes qu’à ta conjonction de 2 lettres.
Et c’est tant mieux, parce que dans la tête de ton lecteur, les 2 peuvent avoir le même impact négatif.
Je te donne un exemple avec une publicité très connue :
Essaie de trouver un mot en trop dans ce titre. Tu peux chercher, tu ne trouveras rien parce que chaque mot est à sa place.
Mais tu peux être sûr qu’avant relecture et modification, le titre ressemblait à quelque chose du genre :
The new Rolls-Royce is so quiet that at 60 miles an hour the loudest noise comes from the electric clock.
C’est la manière la plus naturelle de dire les choses, et c’est déjà un très bon titre.
Mais si tu passes en mode Monsieur Burns et que tu chasses les mots superflus comme si ta vie en dépendait ?
Tu remarques une redondance : “quiet” - “loudest”, 2 mots qui font référence à la même idée.
D’autant plus que grave que “quiet” s’accompagne de 3 mots très courts, mais qui alourdissent la phrase : “is” “so” “that”.
En supprimant tout ça, non seulement tu économises 4 €, mais en plus tu allèges la phrase et la rends beaucoup plus impactante.
Ce qui m’amène d’ailleurs à la seconde partie de l’email :
La VRAIE manière de relire ta copy pour vraiment l’améliorer
L’erreur #1 que font 99,999% des copywriters/créateurs quand ils relisent leurs textes, c’est qu’ils cherchent des mots à supprimer.
“Quoi ? Mais Sami, tu viens de nous dire justement d’écrire comme si chaque mot nous coûtait de l’argent !”
Je sais, mais tu vas voir que les 2 conseils sont complètement compatibles.
Reprenons l’exemple de la publicité Rolls-Royce pour comparer ma version à la version définitive :
The new Rolls-Royce is so quiet that at 60 miles an hour the loudest noise comes from the electric clock.
At 60 miles an hour, the loudest noice in the new Rolls-Royce comes form the electric clock.
Pour passer de la première à la deuxième version, tu ne peux pas juste chercher des mots à supprimer :
Tu dois chercher des manières de reformuler toute la phrase.
Un copywriter qui chercherait à supprimer des mots dans ma version ne pourrait rien faire. Chaque mot apporte du sens et est nécessaire pour que la phrase soit grammaticalement correcte.
Mais un copywriter qui chercherait à reformuler ma phrase pour la rendre plus impactante ? Il verrait la redondance dont je te parlais en partie 1 et il pourrait en faire quelque chose de plus intéressant.
Quand tu relis tes textes, sors la tête du guidon et va plus loin que la chasse aux mots inutiles.
Oui, c’est important de virer les adverbes qui ne servent à rien.
Oui, c’est encore plus important de virer les phrases qui ne servent à rien !
Mais ça, c’est la partie facile du travail.
Le plus difficile, c’est de lire ta phrase et te demander “Est-ce qu’il n’y a pas une meilleure manière d’exprimer cette idée ?”
Et bien souvent, ça ne passe pas simplement par supprimer un adverbe, mais par le choix d’une tournure de phrase complètement différente.
C’est une étape qui demande du temps. Parfois encore plus que la rédaction parce que tu dois reprendre ta copy à zéro et trouver d’autres manières de dire les choses.
Pro tip : si tu as le temps, laisse passer 24h entre la rédaction et la relecture.
A froid, certains éléments te sauteront aux yeux alors que tu aurais été incapable de les remarquer 24h plus tôt.
Le conseil que tout le monde te donne et que tu dois arrêter de suivre
Quand tu découvres le copywriting, tu entends forcément ce conseil : “Écris comme tu parles”.
Je comprends très bien l’idée derrière : écrire naturellement, mettre de la personnalité dans tes textes, etc.
Mais le problème, c’est que ce conseil est souvent mal interprété.
Parce qu’à moins que tu sois un orateur hors pair, tes prises de parole sont sans doute pleines d’hésitations, de redondances, etc.
Et c’est ok ! Je suis le premier à faire des phrases trop longues et à avoir du mal à m’exprimer clairement à l’oral.
Mais le piège, c’est que ce défaut se transfère parfois à ma copy.
Si je suis pas vigilant à la rédaction et surtout à la relecture : ma copy ressemble vraiment à mon expression orale…
Et ça serait la catastrophe pour mes clients et pour toi qui lis cette newsletter.
Mon conseil, c’est d’écrire comme tu voudrais parler.
Si comme moi tu es un peu brouillon à l’oral, tu as peut-être en tête une idée de ce à quoi ressemblerait ta prise de parole parfaite :
Une version améliorée de ton expression orale où chaque mot a sa place et apporte quelque chose à ce que tu racontes.
Cet idéal, c’est ce à quoi ta copy doit ressembler.
Autrement dit, en te relisant, tu ne dois pas te dire : “C’est comme ça que je parle”, mais “C’est comme ça que j’aimerais parler”.
Si tu te mets dans la peau du toi qui es un excellent orateur, tu remarqueras facilement dans ton texte tous tes petits défauts d’expression que tu n’aurais pas remarqués autrement.
Les membres du Master de la KopySchool reçoivent ce genre d’emails tous les vendredis.
En plus de ça, ils peuvent m’envoyer leur copy pour que je leur en fasse une relecture gratuitement au format vidéo.
Si tu veux les rejoindre et recevoir le prochain email dès vendredi, clique-ici : https://kopyschool.substack.com/subscribe
A très vite,
Sami
PS : Si tu as une question à propos de l’email, hésite pas : ça me fait toujours plaisir d’y répondre !